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ROMAIN VERGER, RAVIVE, ÉDITIONS DE

ISBN : 979-10-93606-50-7
208 pages / 18€ / Éditions de L'Ogre
 

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FNAC / AMAZON / DECITRE

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Un homme, venu se ressourcer près de la mer, revit un épisode effrayant de son enfance. Un autre prend la route du Nouveau-Mexique pour rejoindre les hommes-soleil. Un vacancier assiste à d’étranges disparitions sur une plage bretonne. Un professeur en congé pour préparer un concours sombre dans la folie et se livre à tous les excès dans un Paris halluciné. Et si pour survivre à nos angoisses et à ce que nous avons fait du monde, nous devions aller au bout de notre humanité et renaître ? En perpétuel équilibre entre le grotesque et l’horreur, Romain Verger propose avec Ravive neuf récits ciselés comme autant d’explorations de la fin d’un monde, le nôtre, et du début d’un nouveau.

Ravive peut se lire à la fois comme un recueil de nouvelles ou comme les expériences et les fictions d’un écrivain aux prises avec ses angoisses et son sentiment de perdition.

Neuf nouvelles, neuf hommes en situation de basculement, qui forment évolution et qui ne sont pas si loin de ce que Nietzsche dit du dernier homme, le plus méprisable, et du surhomme. Les textes évoquent ces états-là, inhérents aux personnages et à cette menace sourde qui pèse sur eux, qu’elle soit écologique, organique ou psychique.

 

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"On sort toujours exténué mais fasciné d'une lecture de Romain Verger. D'autant qu'on ne peut guère lui trouver d'équivalent contemporain."

Marc Villemain, le 5 avril 2017.

"Romain Verger écrit la mythologie du corps contemporain percé d'éclats galactiques. Il y a une sauvagerie somptueuse, une liberté totale, une langue aussi riche que les strates volcaniques ou le sable noir percé de mille lumières acides et par-dessus tout, ça ne ressemble à aucun autre écrivain. Lisez Ravive pour vous raviver l'imaginaire! Et puis cet Ogre a décidément un goût pour l'originalité."

Antoni Casas Ros, Facebook, le 21 février 2017.

"Avec Ravive, Romain Verger s'adonne avec maestria à l'exercice périlleux de la nouvelle."

Julia Montauk, Addict culture, le 10 février 2017.

"Le surnaturel est ici une physique et une biologie inédites."

Jean-Philippe Cazier, Diacritik, le 27 janvier 2017.

"Magnifique et envoûtant, un recueil de nouvelles étranges et inquiétantes à la lisière du réel et des cauchemars..."

Librairie La Belle Lurette, Paris

"Des nouvelles, brûlantes comme des fièvres malignes, qui vont encore plus loin vers un ailleurs intérieur, délétère et néanmoins terriblement beau."

Best-sellers 2016 de la Librairie Charybde, Paris, 9 janvier.

Ravive, classé parmi les lectures les plus marquantes de 2016 : "Neuf nouvelles diaboliques et somptueuses où le réel se dérobe sous les assauts de l'angoisse et de sourdes menaces et mute vers l'épouvante, d'une beauté singulière."

Marianne, libraire chez Charybde, 7 janvier 2017.

"On dévore le livre comme un roman."

Fanny Vandermeersch, Les billets de Fanny, 5 janvier 2017.

Ravive est 2e du Top 2016 des livres de François Perrin.

Focus Vif/L'Express, 28 décembre 2016.

"Une puissance organique et immémoriale semble peser en permanence sur les personnages, le tout servi par une langue incroyable, un peu comme si Lovecraft avait fait un enfant magnifique et forcément difforme à Julien Gracq. En fin de compte, il faut bien se rendre à l'évidence, il y a dans ce livre des pages si belles, des images si fortes et si parfaitement balancées par le rythme, qu'on en serait presque jaloux de ne pas les avoir trouvées soi-même."

Mikaël Hirsch, Facebook, 23 décembre 2016.

"On le trouve beau ce monstre étrange qui terrifie autant qu'il émerveille. Un grand choc."

Top 5 de Hedia, Un dernier livre avant la fin du monde, 18 décembre 2016.

"Un recueil de nouvelles des plus terrifiantes et passionnantes."

Top 5 de Sonia, Un dernier livre avant la fin du monde, 20 décembre 2016.

"C'est beau au-delà du vraisemblable, puissant à en ressortir comme enivré, vaincu mais regonflé pour un bail."

François Perrin, Focus du Vif / L'Express, 16 décembre 2016.

"Ravive explore les recoins monstrueux de l'âme et du corps humains avec l'ardeur verbale et dévorante que l'on connaît à Romain Verger."

Le Visage vert, 14 décembre 2016.

"Ravive, un monstre littéraire éblouissant de noirceur".

Lucien Raphmaj, Latérature, 26 novembre 2016.

"Après des romans comme Grande Ourse et Forêts noires, Romain Verger passe avec brio à la nouvelle, toujours dans la veine fantastique. [...] La langue organique de Verger, concentrée par le format de la nouvelle, mise au service du monstrueux, cherche à nommer l'innommable: une tâche éminemment poétique."

Sophie Ehrsam, En attendant Nadeau, 24 novembre 2016.

"Sa prose éclatante, dense et riche, est celle d'un styliste qui tient son texte de façon imparable."

Jacques Josse, Remue.net, le 16 novembre 2016.

Un recueil de nouvelles éblouissant, étourdissant."

Nikola Delescluse, Paludes n°811, Radio Campus Lille, 11 novembre 2016.

"Ecce homo : voici l'homme. La formule nietzschéenne donne le ton des 9 nouvelles qui composent Ravive. Romain Verger, écrivain-mutant, qui croise l'atmosphère des nouvelles d 'Adolfo Bioy Casares à la langue de Jacques Dupin, déploie avec génie la question du devenir, ce qui tend à être, avec pour fond sonore les membranes d'un réel qui s'entrechoquent, afin d'explorer la fin d'un monde au seuil d'un nouveau. Magistral!"

Librairie Le Square, Lourdes, 10 novembre 2016.

"La prose de Verger n'hésite pas. Dans sa frénésie et son style rococo sombre, comme un Julien Gracq revenu des enfers, elle épouse le flux et le reflux de la marée en ce qu'elle possède quelque chose de cyclique [...] comme si on assistait à quelque chose qui avait déjà commencé et qui continuera après qu'on en aura achevé la lecture."

Jérôme Orsoni, L'Inactuel, 10 novembre 2016.

"Extraordinaire livre - ravissement et terreur mêlés, et quelle écriture, Seigneur!"

André Rougier, Twitter, 5 novembre 2016.

"Comme dans ses précédents livres, Forêts noires, Zones sensibles, Romain Verger dans Ravive érode, en faisant basculer la fiction de l'ordinaire dans l'excès, le trouble ou l'acuité, la frontière entre l'homme et l'animal, l'homme et le végétal, essayant l'hypothèse, comme dans ses précédents livres, Zones sensibles, Grande ourse, d'imaginer notre avenir comme retour à l'origine, notre avenir primitif, notre avenir poisson. Mourir pour aller où l'on va, renaître en retournant d'où l'on vient. [...] J'aime quand l'intelligence s'incarne, quand elle a la texture des algues, le fluide lourd du sang. J'aime quand l'intelligence revêt des peaux sauvages."

Éloïse Lièvre, Facebook, 5 novembre 2016.

"Le récit psychanalytique se déploie dans les astucieux enchaînements de mots, dans le jeu sur les signifiants et les signifiés. [...] Le lecteur marche sur un fil tendu entre le tourbillon de l'angoisse fantastique et celle plus intime de l'auto-fiction "

Sonia Carré, Un dernier livre avant la fin du monde, 28 octobre 2016.

"Neuf nouvelles déclinent la même obsession dans des genres très différents mais toujours avec ce style très riche qui, sans doute aucun, permet à l'auteur de ne rien dévoiler de ses angoisses que ce qui en est l'essentiel."

Pierre-Vincent Guitard, Exigence Littérature, 23 octobre 2016.

"Le revoici quatre romans plus tard avec un recueil de neuf nouvelles. Mais, à y regarder de plus près, même si certains motifs - l'océan, la nature primitive comme dans Forêts noires (Quidam, 2010), la figure polymorphe du monstre - hantent ses histoires, il serait réducteur d'enfermer Romain Verger dans la littérature de genre. C'est plus largement la question de l'imaginaire, des frontières du rêve et du fantasme, de la distorsion de la réalité, qui le travaille"

Véronique Rossignol, Livres Hebdo, 14 octobre 2016.

"L’écriture de Romain Verger, qui tend des pièges surprenants ou effrayants à chaque coin de phrase, qui exploite toute la gamme du lexique et toutes les possibilités de la syntaxe, ne laisse pas en paix. Une écriture à la fois grouillante et maîtrisée, en courbes baroques et en lames aiguisées, acharnée au combat de la création contre l'anéantissement."

Jean-Pierre Longre, 5 octobre 2016.

"Il faut savoir gré à Romain Verger de renouer avec le genre de la nouvelle, cette vieille forme bien délaissée par les écrivains français contemporains, obsédés tous de roman, de roman et encore de roman, quand ce n'est pas de roman américain, et peut-être difficilement capables de se plier aux exigences d'efficacité, de concision, de virtuosité que suppose la forme brève."

Antoine Brea, 4 octobre 2016.

"L’écriture a gagné ici, de manière spectaculaire, une puissance et une concision rares, pour atteindre une densité poétique frémissante et hirsute, diaboliquement belle et tout aussi déstabilisante."

Hugues Robert, Librairie Charybde, Paris, 2 octobre 2016.

"Ça y est, je suis ébloui. Ébloui par la lecture de Ravive : angoisses, doutes, rires, vertiges et basculements."

Pierre Barrault, Librairie La belle lurette.

 

ENTRETIENS (SITES, RADIOS / PODCASTS)

Un dernier livre avant la fin du monde, 1er décembre 2016.
Invité d'Andréas Becker, Les Jeudis Littéraires, Radio Aligre FM, 27 octobre 2016.
Invité de la librairie Charybde, entretien avec Hugues Robert et lectures, 20 octobre 2016.


EXTRAITS

Revue Noto, n°5, novembre 2016.
Philippe Annocque, Hublots, 29 octobre 2016.
 

NOUVELLES TRADUITES ET PARUES À

Aux États-Unis : « The Castle » (« Le château »), Sakura Review, n°6, 2015. Trad. : Sadie Hoagland. 
En Russie : « Люди Солнца » (« Les hommes-soleil »),
Darker, septembre 2016.

 

NOUVELLES PRÉALABLEMENT PARUES EN REVUES

« Le château », Le Visage vert, N°22, 2013. 
« Ploumanac'h »,
Black Herald Magazine, N°3, 2012.

 

 

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